Le jeu vidéo préféré de papa quand j’avais quatre ans. Presque aussi nostalgifère que Psycho Fox.
Resident Evil (1996 - Playstation)
Sans ce jeu, les zombies n’auraient jamais récupéré toute la coolitude qu'ils mériteraient. Pas de série télé Walking Dead… et pas de carrière pour Milla Jovovich non plus.
Pitfall : The Mayan Adventure (1994 - Megadrive)
Preuve que l’on pouvait avoir des jeux magnifiques sur la Megadrive. Dommage que celui-ci nous forçait à tuer des singes et des jaguars.
Mortal Kombat (1993 - Megadrive et Game Gear)
Ses effusions de sang mythiques et sa musique crâneusement kitsch on failli le rendre encore plus classe que Street Fighter (ouais, même sur la Game Gear).
The Incredible Machine (1992 - PC)
Parce qu’on pouvait y provoquer les réactions en chaîne les plus dingues de tout l’univers.
Jungle Strike (1993 - Megadrive)
Qui a failli me donner envie de devenir pilote d'hélicoptère. Failli, hein, faut pas déconner.
Civilization 2 (1996 - PC)
Pour le plaisir de voir prospérer sa… euh, bah sa civilisation, quoi.
Jurassic Park (1993 - Super NES)
Quoi de plus logique que de vouloir prolonger le fun indémodable du film ? Et puis, la musique est totalement dingue.
Alex Kidd in Miracle World (1986 - Master System)
Que mes voisins avaient de base sur leur Master System (ça se lançait quand on l'allumait sans cartouche), alors que j'avais un vieux jeu de moto tout naze. Toujours au sommet du cool, ces voisins.
War Wind (1996 - PC)
Un RTS vachement sous-estimé (pour de bonnes raisons quand même). Mais son ambiance de monde désolé, peuplé par des civilisations aussi barges les unes que les autres restera ancrée dans mon esprit jusqu’à la fin des temps.
Sim City Enhanced (1993 - PC)
Sorte de Sim City 1500 (avant le 2000, quoi), qui m'a fait faire des rêves éveillés d'immeubles surgissant de terre.
Street Fighter 2 (1992 - Super NES)
La super légende des consoles 16 bits. Tu maîtrisais pas le quart de cercle sur la manette pour lancer un Hadoken à huit ans, t’étais déjà mal barré dans la vie.
Sonic Spinball (1993 - Megadrive)
Parce que Sonic trimballé à travers des flippers industriels géants, c'est la classe ultime.
Dungeons and Dragons : the Tower of Doom (1994 - Arcade)
La seule borne d’arcade à m’avoir fait dépenser toutes mes pièces de dix francs en quelques jours, dans un camping paumé en 1996. La seule fois où j'ai réclamé mon argent de poche en avance.
Et aussi Super Mario Bros. 3, Legend of Kartia, The Revenge of Shinobi, Wonderboy 3, International Karaté Plus, Act Raiser, Star Wing, M.A.X., Creatures, Phantasmagoria, Rogue Trip, Myst... et bien d’autres.
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